Faire de la (une) perruque

Publié le par Jacques Michaud

Faire de la (une) perruque

Cette expression était utilisée lorsque j'étais plus jeune (naguère pour moi, jadis pour certains, autrefois pour d'aucuns...). Elle désignait l'activité d'un ouvrier qui pouvait réaliser pour son propre compte certains travaux avec l'outil de travail de son patron, dans le temps de travail que lui payait son patron.

Par contiguïté, je pense à  :  travailler au noir, que tout le monde comprend et aussi : faire des ménages. On utilise cette dernière expression pour désigner les ^prestations de certains journalistes ou vedettes à la renommée faiblissante qui vont faire, de ci, de là, des prestations rémunérées. D'une certaine manière, ils font des piges (des piges désignent, en langage populaire, des vacations).

Allez, ça m'inspire : une pige, c'est aussi un instrument de mesure de bricoleur débrouillard. Prenez deux morceaux de bois que vous faites glisser l'un sur l'autre et vous mesurez avec ça n'importe quel plafond, du moins, en queklque sorte, et pour être précis, vous prenez l'empreinte de la mesure..

Avoir une araignée au plafond, c'est être un peu bargeot

Avoir l'esprit d'escalier, c'est passer d'une idée à une autre sans prévision

Jean-Jacques Rousseau avait l'esprit d'escalier. Excudez du peu.

Publié dans métaphore

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